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République d’Irlande
Églises du monde. La situation des catholiques dans un pays
Jeudi 10 octobre à 22h45, 26 min.
Malgré la forte tradition catholique du pays, les vocations ont chuté et moins de chrétiens vont à la messe le dimanche. Dans un contexte de forte sécularisation, l’Eglise en République d’Irlande affaiblie par des scandales d’abus sexuels révélés au début des années 2000, est appelée à se renouveler. Mais comment faire ? Un signe encourageant : l’essor des mouvements de jeunes catholiques. Eclairage avec notre invité, le père Jim Doyle, prêtre du diocèse de Ferns en Irlande et aumônier des Irlandais à Paris.
Rediffusions : vendredi 11/10 à 19h30.
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La Résistance catholique sous l’Occupation
Au risque de l’Histoire. Les moments clés de l’histoire de l’Église.
Jeudi 10 octobre 21h10, 52 min.
Du 6 au 13 août 1942, plus de 3000 juifs sont sélectionnés dans des camps du sud-ouest de la France et acheminés par train jusqu’à Auschwitz via Drancy. Parce qu’elle fait partie du Comité catholique d’aide aux étrangers, une femme du nom de Thérèse Dauty, assiste à ces scènes terribles. Elle en informe alors Mgr Jules Saliège qui, quelques jours plus tard, demande à l’ensemble de ses prêtres de lire en chaire une protestation : oui, les juifs sont des hommes, les juives sont des femmes. Ce nouveau numéro d’Au risque de l’Histoire propose d’explorer une page méconnue de l’histoire du catholicisme. On parle souvent des catholiques dans la Résistance sans voir qu’il existait aussi une Résistance à proprement parler catholique et qui possède une capitale : Toulouse. « Il faut comprendre que lorsque Mgr Saliège publie sa lettre en août 1942, c’est la première fois qu’un prélat de cette importance prend la parole au sujet des persécutions contre les juifs. Grâce à cela, il va permettre que les déportations de Drancy cessent complètement pendant plus de trois mois ! », raconte Maurice Lugassy, directeur de l’Institut universitaire juif de Toulouse et du Mémorial de la Shoah (sud de la France). « Il y a des gens qui ont parlé, d’autres qui ont agi. Mgr Saliège, lui, a fait les deux et c’est sans doute pour cela qu’on peut dire qu’il est un cas unique dans l’histoire de la Résistance », souligne Jean‑Pierre Denis, journaliste et écrivain. Animé par Christophe Dickès. En partenariat avec la radio web StoriaVoce (2024)
Rediffusions : jeudi 10/10 à 1h05, vendredi 11/10 à 8h30, dimanche 13/10 à 16h, lundi 14/10 à 22h20, mardi 15/10 à 10h55, mercredi 16/10 à 12h20.
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La Soirée de la rédaction
Le lien avec l’actualité
Vendredi 11 octobre à 20h35
Débat sur un sujet d’actualité, dialogue autour d’une réalité pastorale ou échange autour d’un grand évènement : les soirées de la rédaction ouvrent un espace de parole, de confrontation bienveillante et de réflexion autour des grandes problématiques de l’Église et de la société. Une soirée animée par Étienne Loraillère.
Rediffusions : vendredi 11/10 à 20h35, samedi 12/10 à 0h40 et 16h00, dimanche 13/10 à 12h15 et lundi 14.10 à 14h10.
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Du père Joffroy au frère Rosaire. Quand la foi se répand en Casamance
Documentaire
Mercredi 16 octobre à 20h35, 52 min
Catholiques pratiquants, Jean-Pascal et Lambert Ehemba font partie de l’une des premières familles converties dans une zone restée difficile d’accès jusqu’au début du xxe siècle. Le delta de la Casamance, au sud du Sénégal, était effectivement rempli de villages coupés de bolongs où les pères blancs ont tout de même accompli leur mission d’évangélisation. Le témoignage de ces deux frères, l’un au Sénégal, l’autre en France, s’inscrit dans la tradition catholique d’une ethnie africaine dont la cosmogonie possède beaucoup de points communs avec les Évangiles.
Et parmi ces similitudes, la figure de la Vierge joue un rôle essentiel. Pour explorer, à travers le portrait d’une famille pratiquante, l’implantation tardive du catholicisme dans cette partie de la Casamance, loin des axes praticables, il est important de mesurer la part de christianisation sur le continent africain à l’aube du xxe siècle. Une coproduction KTO/KWANZA & LUKARN 2024 – Réalisée par Virginie Berda
Rediffusions : mercredi 16/10 à 0h40, jeudi 17/10 à 14h35, vendredi 18/10 à 22h20.
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Des missionnaires au XXIe siècle !
Associons-nous avec les Œuvres pontificales missionnaires !
Vendredi 18 octobre 20h35, 52 min
Aujourd’hui encore, des missionnaires sont envoyés dans le monde pour annoncer l’Évangile et poursuivre l’évangélisation. Dans certains pays, où les chrétiens sont parfois minoritaires, ils ont pour mission d’affermir les Églises locales et de permettre la croissance spirituelle, humaine et matérielle des populations. Dans le monde entier, les Œuvres pontificales missionnaires (OPM) contribuent à la vie de ces missionnaires en leur assurant un soutien spirituel, moral et financier. Cette année, le thème de la Semaine missionnaire mondiale est une exhortation pour tous les fidèles à participer à cette évangélisation. En partenariat avec les Œuvres pontificales missionnaires. Vous aussi, participez à l’émission en posant vos questions à associons-nous@ktotv.com.
Rediffusions : vendredi 18/10 à 0h40.
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Gilbert Montagné « Je crois en la lumière du ciel »
Lumière intérieure
Samedi 12 octobre à 20h35, 52 min
Chanteur, compositeur et parolier, il fait partie des figures incontournables de la scène musicale française. Qui n’a jamais dansé sur ses tubes intemporels comme On va s’aimer ou Les Sunlights des tropiques ? Malgré les succès, les paillettes et les feux des projecteurs, Gilbert Montagné, l’artiste aveugle le plus célèbre de la scène française, est resté fidèle à lui-même : humble, généreux et profondément humain. Infatigable optimiste, c’est sa joie de vivre communicative qui lui a permis de traverser avec sérénité les épreuves de la vie. Aujourd’hui, il nous présente avec enthousiasme son nouveau projet : un livre-disque intitulé On chante, on danse ! (Fleurus Éditions), destiné aux enfants. Composé de dix comptines, dont cinq créations originales, cette œuvre témoigne de son engagement à transmettre la joie à travers la musique. Avec la gentillesse et la bienveillance qui le caractérisent, Gilbert Montagné nous confie également son lien avec le monde invisible : « Si on ouvre son cœur et son âme, on peut sentir la présence d’un ange au-dessus de nous…Je remercie la vie qui m’a enveloppé de ses bras. »
Rediffusions : samedi 12/10 à 0h40, dimanche 13/10 à 23h45, lundi 14/10 à 16h, mercredi 16/10 à 11h, jeudi 17/10 à 22h20, vendredi 18/10 à 14h10
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La Paroisse
La Foi prise au mot. Les grands sujets de la foi.
Dimanche 13 octobre 20h35, 52 min
Cette semaine, La Foi prise au mot s’intéresse à une réalité de l’Église qui s’est considérablement modifiée depuis une vingtaine d’années en Europe : la paroisse. On est loin de cette entité géographique qui correspondait à peu près à un gros village ou à un petit quartier urbain avec le prêtre comme figure centrale de la communauté, qui s’occupait de ses paroissiens, du baptême à la sépulture. La diminution de la pratique religieuse n’est pas seule en cause : le changement des habitudes des chrétiens, mais aussi globalement de la société, a bouleversé toute l’organisation diocésaine.
« Le fait est que c’est dur d’être curé de paroisse, parce qu’on on est soi-même fragile, qu’on accueille beaucoup de fragilités et qu’on a beaucoup de missions très diversifiées. En bref, cela demande une énergie colossale pour accueillir tout le monde avec bienveillance et pour que chacun trouve sa place. Si on veut aller plus loin que juste la messe et les services, il faut créer un espace où le prêtre partage sa charge pastorale avec d’autres, notamment des laïcs. Et il est très bon qu’il y ait un deuxième prêtre, pour qu’ils se soutiennent, mais aussi qu’ils puissent parfois se neutraliser sur certains sujets », témoigne Matthieu Bobin, prêtre du diocèse de Cambrai. « On s’est aperçu que la paroisse reste absolument essentielle, d’abord comme lieu central des communautés, mais aussi comme porte d’entrée pour les nouveaux convertis. Depuis le COVID, on voit surgir énormément de demandes de sacrements de toute une génération qui n’a pas été baptisée ni catéchisée. Pour eux, la paroisse reste souvent la première porte ouverte pour explorer, commencer ou développer leur vie de foi », raconte quant à lui Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille. Magazine animé par Régis Burnet (2024)
Rediffusions : dimanche 13/10 à 1h10, lundi 14/10 à 19h, mardi 15/10 à 8h30 et à 22h20, vendredi 18/10 à 23h15
